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Une Transsexuelle s'éclate au téléphone rose


Une Transsexuelle s'éclate au téléphone rose
Bonne queue pour bonne branlette

En ce moment je n'arrête pas de penser au sexe, à tel point qu'il m'arrive de rêver d'une grosse queue et même d’une Transsexuelle aussi sexy que salope. J'aimerais m'envoyer en l'air mais comme je fais des heures sup' j'ai du mal à sortir après une grosse journée de travail. Heureusement depuis que j'ai découvert le téléphone rose mes soirées sont riches en sensations et en plaisir, j’ai la chance d’avoir découvert un service de téléphone rose pas cher et j’avoue que je m’éclate comme une vraie petite cochonne. J'ai pris l'habitude d'échanger avec des inconnus et chaque conversation est unique.


Je vais me présenter, j'espère que mon portrait titillera un peu votre curiosité et aussi votre libido…

Je m'appelle Natalia et je suis transsexuelle. Je précise que je suis nantie d'une jolie poitrine, d'un beau pénis épais et long. Épilée totale et féminisée au max, j'ai les cheveux blonds en dessous des épaules. De style bcbg, 39 ans, grande et fine, qui pourrait soupçonner qu'en dessous de cette délicieuse mini-jupe violette se cache une belle queue vigoureuse gainée de soie fuchsia ? Quant à mes seins j'en suis plutôt fière, un 90 E que j'aime montrer sans pudeur dans de jolis décolletés glamour.


Encore ce soir, pendant que j'enfile une tenue "hot", collant body sur tout le corps, la résille rose transparente couvre ma peau mais comme c'est extensible je peux écarter les mailles aux endroits spéciaux pour toucher ou me faire toucher, je suis déjà humide de ne pas savoir avec qui je vais converser, humm j'adore le sexe au téléphone rose. Tenue un peu excentrique que je complète par une paire de cuissardes pour me rendre un peu plus "chienne". Désolée de parler crûment mais personnellement je n'ai que très peu de tabou. Je suis bi, j'aime les partouzes et les gangs bangs. Autant être franche. Si j'apprécie autant l'amour au téléphone c'est parce que les partenaires avec qui je me caresse sont pour la plupart "débridés" et aiment les Transsexuelles sans tabou.

Lors de ma première conversation téléphonique j'ai fait la connaissance d'un homme qui avait envie d'une branlette au téléphone. Cela tombait bien c'était mon tout premier téléphone rose et fort excitée par avance j'avais moi aussi très envie de me branler. Il était tout nu au bord de son lit et je lui ai dit que j'avais envie de venir m'asseoir près de lui afin qu'on inverse nos mains. Il m'a dit qu'il espérait que j'avais une grosse bite, j'ai répondu que oui et je l'ai entendu gémir légèrement, ma queue a durci aussitôt. On a parlé de nos couilles pleines et je lui ai proposer d'embrasser les miennes. Tout est dans l'imagination et pourtant le fait de l'entendre se branler en écoutant le bruit que faisait mon gland pendant que je le tripotais nous a fait très vite jouir de plaisir. Je m'étais laissée aller, je n'avais même pas retenue mon éjaculation. Ce fut bref mais très jouissif.


Quelques jours plus tard, en milieu de soirée, après une douche rapide, je m'étais encore connectée dans la rubrique « Trans au téléphone rose », excitée depuis le début de la soirée à l'idée de me caresser en bonne compagnie. Un jeune homme timide s'appelant Dylan eut le don de me chauffer. Il me raconta qu'il était âgé de 21 ans, qu'il avait une copine depuis deux 2 ans mais qu'il s'ennuyait sexuellement avec elle. Il voulait savoir si je pouvais lui faire découvrir mon univers. Il parlait de me sucer la queue jusqu'au bout, de se laisser sodomiser profondément, les mots qu'il employait rendait ma queue dure ; Dylan m'avoua que parfois seul, il se doigtais l'anus ; il aimait s'enfoncer plusieurs doigts à la suite en vue d'une rencontre avec une trans bien montée. Mes tétons me piquaient pendant que j'écoutais ses confidences salaces. Il n'avait pas de jouet pour combler son petit anus mais je lui demandais de trouver autour de lui quelque chose qui y ressemblait. C'est avec un gros marqueur que Dylan se dépucela la rondelle pour moi au téléphone. Légèrement soumis il avait tendance à écouter et obéir à chacune de mes demandes même les plus cochonnes. Pendant plusieurs jours nous nous retrouvions au bout du fil, il avait reçu l'ordre de ne pas se branler ni se toucher sans moi. Je faisais de même, transformant notre coup de fil en une séance de domination soft entre une salope transsexuelle et un coquin à tendance soumis.


Ni soumise ni dominatrice j'étais ouverte à toutes sortes de jeux et j'en profitais, avec lui je découvrais les jeux de rôles et le sexe au téléphone rose avec un garçon timide.

Ses tétons étant aussi sensibles que les miens, je lui disais de les pincer très fort, ce qui le mit à rude épreuve car dans le même temps je lui intimais l'ordre de ne pas bander. Il me disait que ça lui faisait un peu mal mais aussi beaucoup de plaisir, de l'entendre de sa bouche m'excitait, je lui demandais de continuer. Ses couinements me procuraient du bonheur mais aussi du pouvoir ; le pouvoir de lui demander de satisfaire tous mes caprices ; de le tenir en laisse ; de lui en demandait encore plus à chaque nouvel appel :

"Fous toi nu devant la fenêtre de la cuisine et branles toi" ; "pinces toi les tétons plus forts" ; "claques toi les fesses et claques toi les couilles en les tirant bien vers le bas" ; "bois ton sperme". Chacun de ses gémissements étaient à mon oreille une sorte de récompense, ces parties de branle au téléphone rose étaient vraiment excitantes. Une fois je lui ai demandé de piquer des collants et une culotte de sa copine qu'elle avait déjà portée. Il me confia qu'en fouillant dans le panier à linge il avait eu une grosse érection. Je lui demandais de serrer ses couilles avec les collants et de se branler dans la culotte pour ensuite la remettre dans son tiroir à sous-vêtements. En fin de conversation il venait à 4 pattes devant moi, il devait attacher mon gode ceinture pour ensuite m'offrir son méat sans retenue ; là je le laissais jouir à sa guise ; il criait assez fort et je sentais que c'était sincère, du pur plaisir, il me confiait souvent avoir envie d’une rencontre avec une transsexuelle. Pour ce qui est de sa bite, durant toute notre conversation je l'empêchais de trop se toucher ou de prendre son plaisir, il devait d'abord me laisser prendre mon pied et ensuite c'était à son tour. Avec lui je me suis éclatée à fond, profitant qu'il aimait m'obéir pour en faire mon petit joujou sexuel. Depuis, chaque jeudi soir pendant que sa copine prend des cours de violon, nous prenons ensemble des cours de flûtes, sourires.


Une nuit où j'avais une insomnie je me suis "branchée" espérant tomber sur un homme différent avec une envie de sexe au tél plus cru. Sa voix grave quand je décrochais me donna immédiatement envie de me doigter l'anus. Nue sous mon drap, je l'écoutais se présenter. Lucas, 47 ans, grand et massif, poilu et viril, avec un langage hard qui me séduisit d'emblée. Il me raconta qu'il avait pris l'habitude de faire des rencontres transsexuelles car il était fort porté sur l'anal et que ce soir il avait envie d’une belle Trans au téléphone rose et qu'il avait immédiatement aimé mon profil de Trans aux gros seins. Il me demanda si j'avais des jouets, et me proposa de me rappeler dans quelques minutes quand je les aurais rassemblé autour de moi. Il me dit qu’il allait me faire l’amour au téléphone comme personne ne m’avait fait ! Fébrile je couru chercher mon gode ventouse, mon plug que j'enfilais facilement dans la foulée, il voulait que je sois prête, il n'allait pas être déçue. Quelques minutes plus tard je le retrouvais au bout du fil, il me demanda de claquer les bouts de mes seins bien fort, je m'exécutais contente de trouver un homme qui prenne cette fois ci les devants, je sentais qu'il aimait avoir le contrôle et mon corps réagissait assez bien, des frissons glissaient le long de mes cuisses quand il me demanda d'ôter mon drap et de me caresser les seins, d'effleurer mon ventre, de tâter ma queue, de mettre deux doigts dans ma bouche en continuant à lui parler. Quelle belle rencontre en ligne ! C'était troublant et stimulant. Je l'entendais se branler, d'ailleurs il faisait tout pour que je l'entende, je sentais bien qu’il aimait le sexe au téléphone ses grognements de plaisir, sa respiration animale, le bruit de sa masturbation, il avait mis du lubrifiant car comme moi il aimait que ça glisse avec un effet mouillé. Il me demanda d'activer le haut-parleur et d'utiliser mes deux mains, la première pour tirer sur mes mamelons et la deuxième pour enfoncer deux doigts dans mon petit trou. Quand je lui dis que mon anus était déjà mouillé et mon gland aussi, il m'a répondu que c'était toujours comme ça avec les grosses cochonnes transsexuelles en manque, c'est ainsi qu'il me baptisa "ma Transsexuelle dégoulinante". Quand il sut que j'avais un plug logé dans ma rondelle il s'échauffa encore plus, me demandant de l'enlever et de poser mon gode ventouse sur un tabouret afin de passer à quelque chose de plus gros. J'étais toute chaude, mon appétit aiguisé, et je voulais lui montrer que j'étais une très bonne salope, comme il aime. Je n'arrêtais pas de tripoter mon gland, tout en me laissant glisser sur le gode ventouse, je gueulais doucement accélérant mes va-et-vient dessus, continuant à branler ma queue, prise dans une sorte de tourbillon de plaisir, sa voix me parvenait encore m'encourageant à aller plus vite...

Pour cette fois je vous laisse imaginer la suite de notre partie de baise au téléphone mais je reviendrais très vite pour tout vous dire.

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